De l’intelligence des formes à l’intelligence architecturale
Marie-Ange Brayer
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Note 1 : BIM est aussi le sigle anglais de Building Information Model, lorsqu’il porte sur le fichier (model), ou encore de Building Information Management, lorsqu’il concerne le processus de gestion du projet et les informations partagées entre les acteurs (management).
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Note 2 : Voir aussi les rencontres internationales et expositions organisées par ArchiLab, cofondé par Frédéric Migayrou et Marie-Ange Brayer, au Frac Centre/Ville d’Orléans, de 1999 à 2013.
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Note 3 : Le spline modeling [modélisation par courbes] est une technique utilisée en infographie 3D pour créer des formes fluides et organiques en manipulant des contours complexes.
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Une spline est une fonction définie par morceaux par des polynômes.
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Les courbes de Bézier sont des splines de degrée 3 développées initialement pour la conception des pièces de carrosserie d'automobiles par Paul de Casteljau, en 1959, pour Citroën et, indépendamment, par Pierre Bézier, en 1962, pour Renault.
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On trouvera dans ce rapport « Bézier and B-spline techniques » une présentation (en anglais) de l'usage des courbes de Beziers dans la modélisation géométrique assistée par ordinateur.
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Note 4 : Mario Carpo, The Second Digital Turn. Design Beyond Intelligence, Cambridge (Mass.), The MIT Press, 2017.
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Note 5 : Tom Verebes est le fondateur d’OCEAN CN et professeur au New York Institute of Technology (NYIT).
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Note 6 : Makoto Sei Watanabe, « AI Tect: Can AI Make Designs », 2022. Voir aussi Neil Leach, Architecture in the Age of Artificial Intelligence: An Introduction to AI for Architects, Londres, Bloomsbury Visual Arts, 2022, p. 173.
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Note 7 : Voir Stefan Al, Tom Verebes, « Chapter 10: Artificial Intelligence, the Internet of Things, and Technological Determinism », The Urbanism Reader: Design, Technology, Culture, and the Future of Cities, Londres, Bloomsbury, 2025, p. 231 et Matias del Campo, « How Machines Learn to Plan », Neural Architecture: Design and Artificial Intelligence, Novato (Cal.), ORO Editions, 2022.
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Note 8 : Voir note 6 ci-dessus.
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Note 9 : F. Migayrou, « Logiques du code, l’architecture in vitro » dans F. Migayrou (dir.), Coder le monde. Mutations-Créations, Orléans, Éditions Hyx, Paris, Éditions du Centre Pompidou, 2018, p. 114.
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Note 10 : Antoine Picon, Smart Cities. Théorie et critique d’un idéal auto-réalisateur, Paris, Éditions B2, 2013, p. 5 et 17.
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Note 11 : Carlo Ratti, avec Matthew Claudel, La città di domani. Come le reti stanno cambiando il futuro urbano, Turin, Einaudi, 2017, p. 101.
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Note 12 : Voir A. Picon, Smart Cities: A Spatialised Intelligence, Londres, Wiley, 2015.
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Note 13 : Ibid., p. 8.
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Note 14 : Donna Haraway, A Cyborg Manifesto, 1985 ; William J. Mitchell, Me++: The Cyborg Self and the Networked City, Cambridge (Mass.), MIT Press, 2003 (table des matières et premier chapitre accessible en ligne).
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Note 15 : Ibid., p. 45.
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Note 16 : Voir N. Leach et Roland Snooks (éd.), Swarm Intelligence: Architectures of Multi-Agency Systems, Shanghai, Tongji University Press, 2017.
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Note 17 : Benjamin Bratton, « iPhone City », Architectural Design, vol. 79, no 4 : Digital Cities, juillet-août 2009, p. 90-97.
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Note 18 : Voir note 6 page 65.
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Note 19 : Theodore Spyropoulos, « Everything You See is Yours: Step Towards the Certainty of Uncertainty », AD, vol. 91, no 3 : _Wordmodelling: Architectural Models in the 21st Century_, avril 2021, p. 64-73.
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Note 20 : Philippe Morel, entretien avec Pascal Nguyën, dans Sciences et Avenir, 28 mai 2019. Voir aussi P. Morel (EZCT Architecture & Design Research), « Towards an Artificial Architecture: About Superintelligent Space », Proceedings of the International Conference on the 4th Game Set and Match (GSM4Q-2019), 6-7 février, Doha, Qatar.
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Note 21 : Voir note 17 page 66.
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Note 22 : Achim Menges est le fondateur du pôle d’excellence Integrative Computational Design and Construction for Architecture, à l’université de Stuttgart.
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Note 23 : Voir A. Menges et Thomas Wortmann, « Synthesising Artificial Intelligence and Physical Performance », Architectural Design, vol. 92, no 3 : Machine Hallucinations: Architecture and Artificial Intelligence, mai-juin 2022, p. 94-99. Voir également la pPrésentation de ce numéro thématique](https://press.universitetipolis.edu.al/wp-content/uploads/2024/03/20.-Machines-hallucinations_BookReview.pdf) dans la revue TelQuel Architecture.
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Note 24 : Claudia Pasquero et Marco Poletto (éd.), Biodesign in the Age of Artificial Intelligence: Deep Green, New York, Routledge, 2023, p. 237-238. Presentation du livre dans la revue Stir.
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Note 25 : Areti Markopoulou, « Learning Cities: Collective Intelligence in Urban Design », Architectural Design, vol. 94, no 3 : Artificial Intelligence in Architecture, mai-juin 2024, p. 220-223.
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Note 26 : Kate Crawford, Atlas of AI: Power, Politics and the Planetary Costs of Artificial Intelligence, Yale University Press, 2022, p. 227. Voir note 4 page 17.
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Note 27 : Andrew Witt, « An A(i)lien Embassy. AI and Interspecies Communication », dans M. del Campo (éd.), Artificial Intelligence in Architecture, op. cit., p. 56. Voir également M.-A. Brayer (dir.), Ant Farm, Orléans, Éditions Hyx/Frac Centre-Val de Loire, 2007.
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Note 28 : Projet porté par le Earth Species Project et le projet CETI (Cetacean Translation Initiative).
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Note 29 : Entretien de l’auteur avec Brendan MacFarlane (Jakob+MacFarlane), décembre 2024.
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Note 30 : Rosi Braidotti, The Posthuman, Cambridge, Polity Press, 2013.
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Note 31 : M. del Campo, « Everything Can Be an Author: Rethinking Agency in the Age of Artificial Intelligence », Architectural Design, vol. 94, no 3 : Artificial Intelligence in Architecture, 2024, p. 20-29.